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Nous avons environ 35 employ\u00e9s. La plupart d’entre eux sont \u00e0 Odessa. Nous avons 50 % d’hommes et 50 % de femmes. Certaines femmes ont d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 dans diff\u00e9rents pays, comme la Norv\u00e8ge, la Bulgarie et la Roumanie, mais certaines d’entre elles peuvent encore travailler \u00e0 distance. Notre comptabilit\u00e9 et nos ventes peuvent travailler \u00e0 distance \u00e0 l’aide d’un syst\u00e8me CRM sur le cloud, parce qu’ils ne veulent pas quitter leur maison, et ils ne veulent pas quitter Odessa. <\/em><\/p>Ma famille, ma femme et ma fille de trois ans, se trouve maintenant en Transnistrie, qui fait partie de la Moldavie. Nous avons des voisins l\u00e0-bas. C’est un pays un peu \u00e9trange, mais il est proche de nous, \u00e0 seulement deux heures d’Odessa. C’est pourquoi nous avons d\u00e9cid\u00e9 d’y relocaliser ma famille. Mon fils a\u00een\u00e9 est \u00e0 Odessa. Il a 19 ans maintenant, et il est \u00e9tudiant.<\/em><\/p>Nous avons commenc\u00e9 en 2014 en tant qu’imprimerie num\u00e9rique, produisant des supports publicitaires tels que des flyers, des cartes de visite, des brochures, etc. Nous avons maintenant trois machines d’impression de classe industrielle de Konica Minolta. C’est une assez grosse machine qui imprime environ 200 000 copies par mois au total. Nous disposons \u00e9galement d’une presse Konica Minolta AccurioLabel, et d’un vernis MGI JETvarnish pour l’embellissement.<\/em><\/p>Nous avons achet\u00e9 la plupart de ces \u00e9quipements pendant la quarantaine de la COVID, car nous pensions qu’il y aurait une croissance importante apr\u00e8s la p\u00e9riode de pand\u00e9mie. Maintenant, nous avons beaucoup de technologie, mais des ventes tr\u00e8s faibles.<\/em><\/p>\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t